Les Ombres d’Euzkadi
De Jean Weber
Journaliste sans emploi défini mais doué pour les enquêtes tous azimuts, Bertrand Boswell est recruté par son ami Iturria. Il doit découvrir les raisons de la crise morale façon burn-out venue dévaster son patron, Jean-Jacques Brunoy, PDG de la puissante agence de lobbying RUN, des plus utiles au pouvoir politique local.
Plongeant dans un passé de violences qui a laissé de profondes cicatrices, très vite confronté à une actualité aussi chaude qu’insolite, Boswell se fait aider par une jeune et dynamique consœur, Agnès Mendiarat, au flair précieux.
Leur route croisera celle d’agents secrets dangereux, d’anciens militants d’ETA faiseurs de paix et d’une foule de personnages pittoresques portant tous, visibles ou plus secrets, les stigmates d’un passé de plomb. Souvent en péril, jamais découragé, le duo un peu déjanté et très séduisant se retrouve vite et bien malgré lui au centre d’une opération politique ultra-sensible, pilotée en toute discrétion depuis les sommets de l’État. Chantages, complots, enlèvements et meurtres ponctuant naturellement une impossible enquête, dérangeante pour presque tout le monde dans un Pays basque aux beautés parfois trompeuses...
Le premier opus d’une nouvelle série mitonné comme un divin poulet basquaise au piment d’Espelette…
Genre : polar
Parution le 22 septembre 2017
224 pages, 18 €
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La couverture en grand format
La revue de presse
AU FEU ! - A ceux qui se sont émus de voir brûler le drapeau français sur le cliché ornant mon journal (https://www.facebook.com/bertrandboswell/) :
Mon livre n’est pas un brûlot. Il ne fait pas l’apologie des crémations de drapeaux appréciées des sectaires. Sur la photo d’ailleurs, aucun drapeau ne brûle. (On pourrait même se risquer à dire qu’une flamme patriotique les éclaire, voire les réchauffe tous ces drapeaux. Basque, européen et français unis). Question d’interprétation.
Le problème avec les images c’est que chacun voit ce qu’il veut bien voir finalement. Je comprends tout à fait les émotions, les réactions spontanées. Elles naissent souvent d’une souffrance, de blessures mal cicatrisées que je respecte. Mais aucun roman (aussi pauvre soit-il) ne peut se résumer à un cliché. Et, quand elle ne s’égare pas hors de ses propres limites, la fiction ne se donne pas pour objectif d’illustrer une thèse particulière.
Lisez et vous verrez...
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Pour patienter : https://www.facebook.com/bertrandboswell/ Comme un avant-goût du polar !
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Par jean weber, le 18 septembre 2017 : Les Ombres d’Euzkadi
Patience au Pays basque : https://www.facebook.com/notes/les-ombres-deuzkadi/mes-six-jours/1458249907629176/
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